14h30 - La decision de l'archeveque de Toulouse de promouvoir ce pretre a choque les fideles. La Conference des eveques, chose rare, s'en desolidarise.
10h51 - >, a affirme l'archeveque de Toulouse pour justifier la nomination au poste de chancelier d'un pretre condamne pour viol sur mineur.
10h45 - L’épiscopat français a demandé à l’archevêque de Toulouse de revenir sur sa décision de promouvoir au poste de chancelier un religieux condamné en 2006 pour le viol d’un lycéen de 16 ans.
07h56 - Les évêques de France ont demandé dimanche 10 août à l’archevêque de Toulouse de revenir sur la nomination comme chancelier du prêtre Dominique Spina, condamné en 2006 pour le viol d’un mineur. Ils jugent que cette décision ne peut « que raviver des blessures, réveiller des soupçons et déconcerter le peuple de Dieu ».
07h43 - Les évêques de France souhaitent que l’archevêque de Toulouse revienne sur sa décision de promouvoir un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006, estimant que cette nomination ne peut que "raviver des blessures" et "déconcerter" les fidèles.
07h43 - Les évêques de France ont souhaité, dimanche, que l’archevêque de Toulouse revienne sur sa décision de promouvoir, la semaine dernière, un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006. Ils estiment que cette nomination ne peut que "raviver des blessures" et "déconcerter" les fidèles.
21h12 - La Conférence des évêques de France demande à l’archevêque Guy de Kerimel de revenir sur sa décision de promouvoir un prêtre condamné en 2006 pour le viol d’un mineur. Celui-ci avait écopé de cinq ans de prison dont un avec sursis.
20h14 - L'archevêque de Toulouse, Guy de Kerimel, a nommé en juin dernier le prêtre Dominique Spina, condamné pour viol sur mineur en 2006, à un poste « administratif », expliquant avoir « pris le parti de la miséricorde ».
19h05 - Début juin, l'archevêque de Toulouse Guy de Kerimel a nommé au poste de chancelier le prêtre Dominique Spina, condamné en 2006 à cinq ans de prison dont un avec sursis pour le viol d'un lycéen de 16 ans en 1993. Cette promotion a provoqué des remous dans l'Eglise de France.