13h28 - Bruno Retailleau s’est exprimé après le report de la réunion avec le président de la République, ce jeudi 24 juillet, dans le cadre d’une visite au commissariat du 20e arrondissement de Paris (Île-de-France).
10h40 - La rencontre entre Emmanuel Macron et Bruno Retailleau, prévue ce jeudi après-midi, a été reportée sur fond de tensions entre les deux hommes. Le ministre de l'Intérieur est toutefois convoqué par le Premier ministre François Bayrou.
10h22 - Le président de la République et le ministre de l’Intérieur devaient se réunir ce jeudi. Alors que les tensions sont fortes, la réunion a été reportée.
10h18 - L’Élysée a fait savoir que la rencontre entre Emmanuel Macron et le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau, prévue ce jeudi 24 juillet, avait finalement été reportée. Une annulation sur fond de tensions entre les deux hommes. Le chef des Républicains verra en revanche François Bayrou.
19h31 - En déplacement mercredi contre les «rodéos agricoles», le ministre de l’Intérieur a assumé ses propos sur «l’impuissance» du «en même temps», avec l’intention de renforcer son poids politique dans cette période estivale.
09h48 - Le ministre de l’Intérieur et numéro un des Républicains a décrété la fin du macronisme qui « alimente l’impuissance ». Des propos qui passent très mal auprès d’un certain nombre de ministres et de fidèles d’Emmanuel Macron… qui n’ont pas hésité à le dire publiquement.
21h45 - Dans un entretien accordé à "Valeurs actuelles", le ministre de l'Intérieur déclare que le macronisme "alimente l'impuissance".
20h43 - Le ministre de l’Intérieur estime que le «en même temps» prôné par le chef de l’Etat «alimente l’impuissance». L’ambiance s’annonce riante jeudi 23 juillet, lors d’un tête à tête entre les deux hommes.
19h22 - Dans un entretien à l'hebdomadaire ultra-conservateur Valeurs Actuelles, Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, estime que « le macronisme s'achèvera avec Emmanuel Macron, tout simplement ».
18h53 - Dans un entretien à paraître mercredi 23 juillet dans l’hebdomadaire d’extrême droite, le ministre de l’Intérieur tacle le chef de l’Etat et revendique son indépendance.