11h28 - François Bayrou refuse de baisser les bras et a tenté mardi de convaincre en particulier les socialistes de lui accorder la confiance le 8 septembre, mais la quasi-certitude d'un vote négatif à l'Assemblée lance déjà les spéculations sur l'après: nouveau Premier ministre, dissolution ou même départ d'Emmanuel Macron comme réclamé par Jean-Luc Mélenchon. Quels scénarios possibles ?
22h20 - Cette réunion doit avoir lieu une semaine pile avant le vote de confiance à l'Assemblée nationale. Mardi soir, le président du RN, Jordan Bardella, a confirmé que les députés de son parti voteront "contre la confiance" au gouvernement de François Bayrou, le 8 septembre.
20h08 - F. Bayrou a pris le risque de chuter le 8 septembre en décidant de se soumettre à un vote de confiance à l’Assemblée nationale. Le RN et LFI ont déjà dit qu’ils voteraient contre comme les écologistes, et les communistes. Le secrétaire général du PS, O. Faure affirme quant à lui qu’il est inimaginable que les socialistes votent la confiance au Premier ministre. En déplacement aujourd’hui dans l'Essonne, F. Bayrou appelle les députés à choisir entre "le chaos" ou "la responsabilité".