14h39 - Ce soir, on vous emmène à la rencontre de Jamie Mc Court, Mme l'ambassadeur des Etats-Unis en France @USAmbFrance. Elle a été nommée par @realDonaldTrump il y a un peu plus d'un an, et sa parole se fait rare. Son portrait, dans Le20hLeMag, après LE20H de @GillesBouleau pic.twitter.com/P19Yx80Zon
14h27 - Le prévenu a la parole en dernier : il revient sur la vidéo. Il ajoute qu'il n'est pas sexiste. Décision rendue un peu plus tard.
14h09 - Parole à la défense : "On a beau citer Simone de Beauvoir, on est dans le théâtre de la vie. Vous avez des causes beaucoup plus graves à juger. Ma collègue noie le dossier. Nous ne sommes pas dans le harcèlement de rue."
14h07 - Elle dénonce un « comportement gratuit », destiné à la victime « en sa qualité de femme ». La magistrate insiste sur le choc psychologique grave pour MarieLaguerre « le sentiment que l’espace public n’est plus secure revient »
14h03 - La procureure poursuit : "Ce comportement complètement gratuit, c'est indéniable qu'il est lié à la qualité de femme de la victime. Il faut prendre en compte ce contexte, même si le prévenu n'est pas poursuivi pour cela."
13h55 - La procureure explique qu'il existe désormais un délit d'outrage sexiste. Mais que le prévenu est renvoyé pour des "violences volontaires avec arme".
13h53 - "Ma cliente ne veut pas qu'il ait une peine sévère. Elle veut qu'il comprenne."
13h51 - L’avocate rappelle que MarieLaguerre a reçu beaucoup de témoignages de soutien mais également des messages de haine. Elle en lit certains, d’une violence inouïe. « Il t’a pas frappé assez fort », « je te viole » « si je te croise je te démolis la mâchoire »...
13h49 - "Nous ne pouvons plus tolérer ce genre de comportement. Cette personne a un problème avec le femmes. (...) Ma cliente attendait que soit abordée la question du harcèlement. A l'époque de faits, il fallait une répétition."
13h23 - Après le jet de cendrier, elle lui dit « t’es fière de toi, gros fils de pute ». C’est à ce moment là que Firas M. fait demi tour et la frappe. MarieLaguerre confie être suivi par une psychologue depuis sept. « C assez traumatisant d’être frappé dans la rue, juste en marchant»