Crédits photo : Francetv info
07h58 - Fernando Villavicencio, en deuxième position dans les intentions de vote, a été tué mercredi à la sortie d'une réunion électorale.
02h30 - Après avoir annoncé faire le choix de la colistière de Fernando Villavicencio, le parti Construye a finalement choisi un nouveau candidat. Un doute subsistait quant à la candidature d'Andrea Gonzalez à la présidence. Le journaliste Christian Zurita devient alors le candidat.
00h59 - Quelque 4.000 soldats et policiers ont participe samedi au transfert dans une nouvelle prison de haute securite du chef du plus puissant gang...
14h03 - Mercredi 9 août 2023, Fernando Villavicencio a été assassiné après un meeting, une dizaine de jours avant le premier tour de l’élection présidentielle à laquelle il était candidat. Les autorités d’Équateur ont annoncé jeudi 10 août que six suspects colombiens appartenant au crime organisé avaient été arrêtés. Le FBI se rend sur place pour épauler les enquêteurs.
08h48 - Les autorités ont précisé que les individus arrêtés sont d'origine colombienne et ont confirmé l'implication de "groupes criminels organisés".
04h52 - Les six suspects arrêtés après l'assassinat de Fernando Villavicencio, l'un des favoris de la présidentielle en Équateur, sont de nationalité colombienne, de même qu'un septième assaillant abattu par les forces de sécurité. Le président Guillermo Lasso a déclaré l'état d'urgence pour 60 jours.
20h50 - Au lendemain de l'assassinat par balle de l'un des principaux candidats à la présidentielle du 20 août, Fernando Villavicencio, l'état d'urgence a été décrété jeudi en Équateur. La communauté internationale a fermement condamné son assassinat, la France le qualifiant d'"acte barbare".
18h54 - Fernando Villavicencio, candidat à l'élection présidentielle en Équateur, a été assassiné mercredi 9 août, à 10 jours du scrutin. Un drame qui s'inscrit dans un contexte de flambée de violence dans le pays.
18h53 - Fernando Villavicencio, l’un des huit candidats à l’élection présidentielle du 20 août, dénonçait la déliquescence de l’État, miné par la corruption et les violences liées au trafic de drogue. Un trafic orchestré depuis le Mexique.
17h26 - Fernando Villavicencio a été tué à la sortie d’un meeting de campagne mercredi 9 août. L’élection présidentielle prévue le 20 août est maintenue malgré l’intensification de la violence des gangs dans le pays. L’état d’urgence a été déclaré pour deux mois.
16h30 - Fernando Villavicencio a été assassiné mercredi soir après un meeting à Quito (Équateur). Il était en campagne pour la présidence du pays. L'ancien journaliste avait fait de la lutte contre la corruption l'une de ses priorités. Portrait en vidéo.
16h04 - Fernando Villavicencio était l'un des favoris pour l'élection présidentielle. Il aurait été assassiné « selon la méthode des sicarios (tueurs à gages), avec trois balles dans la tête ».
16h04 - Fernando Villavicencio, journaliste de profession et homme politique connu pour sa dénonciation de la corruption et du crime organisé, a été tué à la sortie d'un meeting, mercredi soir.
15h52 - Dans la soirée du mercredi 9 août, le candidat à l’élection présidentielle en Équateur Fernando Villavicencio a été tué par balle lors d’un meeting à Quito. Retour sur le parcours d’un homme qui a lutté avec ferveur contre la corruption qui mine son pays.
08h48 - Le candidat avait fait état la semaine précédente de menaces de mort contre lui et son équipe de campagne. Après cet assassinat, le président équatorien a déclaré l’Etat d’urgence pendant 60 jours et a décidé de maintenir les élections anticipées à la date prévue du 20 août.
08h48 - Le candidat centriste avait fait état la semaine précédente de menaces de mort contre lui et son équipe de campagne. Après cet assassinat, le président équatorien a déclaré l’Etat d’urgence pendant 60 jours tout en maintenant les élections anticipées à la date prévue du 20 août.
08h42 - Fernando Villavicencio, candidat à l'élection présidentielle, a été tué par balles à la sortie d'un meeting électoral ce mercredi soir à Quito.
08h28 - Ce centriste de 59 ans, journaliste de profession, était l'un des huit candidats au premier tour de la présidentielle, prévu le 20 août.
08h28 - Ce centriste de 59 ans, journaliste de profession, était l'un des huit candidats au premier tour de la présidentielle, prévu le 20 août.
08h22 - Fernando Villavicencio, candidat centriste à la prochaine élection présidentielle en Équateur a été assassiné ce mercredi 9 août 2023 à l’issue d’un meeting électoral à Quito. Au moins neuf autres personnes ont été blessées, indiquent les autorités, qui annoncent qu’un suspect, arrêté par les forces de l’ordre, est décédé de ses blessures. L’état d’urgence a été déclaré dans le pays mais les élections sont maintenues au 20 août.
07h34 - Ce centriste de 59 ans, journaliste de profession, était l'un des huit candidats au premier tour de la présidentielle, prévu le 20 août.
06h31 - Fernando Villavicencio était l'un des favoris pour l'élection présidentielle. Il aurait été assassiné « selon la méthode des sicarios (tueurs à gages), avec trois balles dans la tête ».
06h23 - Le candidat a la presidentielle en Equateur Fernando Villavicencio, deuxieme dans les sondages, a ete assassine par balle a la fin d'un meeting...
06h21 - Un candidat à la présidentielle, Fernando Villavicencio, a été tué par balle dans la soirée du mercredi 9 août en Équateur. L’État d’urgence a été annoncé jeudi matin.
03h31 - Le centriste Fernando Villavicencio, deuxième dans les intentions de vote parmi huit candidats à la présidentielle du 20 août en Équateur, a été assassiné par balles mercredi soir après un meeting de campagne.
03h31 - Le centriste Fernando Villavicencio, deuxième dans les intentions de vote parmi huit candidats à la présidentielle du 20 août en Équateur, a été assassiné par balles mercredi soir après un meeting de campagne.
03h28 - Fernando Villavicencio, candidat centriste qui etait deuxieme en intentions de vote, a ete assassine a la fin d'un meeting electoral a Quito.
03h28 - Fernando Villavicencio, candidat centriste qui etait deuxieme en intentions de vote, a ete assassine a la fin d'un meeting electoral a Quito.
03h28 - Fernando Villavicencio, candidat centriste qui etait deuxieme en intentions de vote, a ete assassine a la fin d'un meeting electoral a Quito.
03h28 - Fernando Villavicencio, candidat centriste qui etait deuxieme en intentions de vote, a ete assassine a la fin d'un meeting electoral a Quito.
03h28 - Le centriste Fernando Villavicencio, qui se classait deuxieme dans les intentions de vote, a ete tue a la fin d'un meeting electoral a Quito. L'election est maintenue.
11h40 - Six surveillants d'un camp pénitentiaire en Russie ont été arrêtés pour "abus de pouvoir" et "violences" après la diffusion par des médias indépendants d'une vidéo de torture d'un détenu dans ce camp. Vendredi 20 juillet 2018, le journal d'opposition Novaïa gazeta a publié sur son site une vidéo montrant plus d'une dizaine de surveillants du camp pénitentiaire numéro 1 de la région de Iaroslavl (environ 250 km au nord-est de Moscou) en train de porter des coups violents à un détenu, menotté et allongé sur une table, qui pousse des cris déchirants. La vidéo a provoqué une onde de choc et un tollé en Russie. "Les enquêteurs ont identifié tous les surveillants du camp pénitentiaire qui ont participé au passage à tabac du détenu", a assuré dans un communiqué le Comité d'enquête, chargé des principales investigations dans le pays. "A ce jour, six personnes ont été arrêtées", a-t-il précisé, en soulignant que des mesures visant à arrêter les autres suspects étaient en cours. Ils ont notamment "infligé de multiples coups de pieds, de poings et d'objets non-identifiés à cet homme", ajoute-t-il. "Une enquête pour abus de pouvoir et violences a été ouverte", selon le Comité d'enquête, qui entend aussi vérifier les agissements du directeur de la prison et de responsables pénitentiaires régionaux. Selon Novaïa Gazeta, l'avocate et militante des droits de l'Homme Irina Birioukova, qui a transmis au journal la vidéo de torture, "a dû quitter la Russie au lendemain de sa publication" en raison de "menaces de vengeance". Les violences et mauvais traitements de la part des surveillants dans les camps et les prisons en Russie sont régulièrement dénoncés par les familles des prisonniers et des ONG spécialisées dans la surveillance des lieux de détention.