22h54 - Après le vote de destitution visant le chef de l'Etat, Andry Rajoelina, contesté dans la rue, le colonel Michaël Randrianirina affirme que la prise de pouvoir des militaires "n'était pas un coup d'Etat".
21h42 - Commandant de l’unité qui a pris le pouvoir sur l’île secouée par un mouvement de mobilisation massif de la jeunesse, le militaire doit être investi vendredi à la place du président destitué.
20h40 - Le colonel Michaël Randrianirina devrait être investi président, vendredi 17 octobre. Le militaire est à la tête de l’unité militaire ayant pris le pouvoir à Madagascar, après un vote de destitution visant Andry Rajoelina.
19h45 - L'an dernier, quatre associations avaient attaqué en justice le musée Guimet pour qu'il cesse de remplacer le mot "Tibet" par l'expression "Monde himalayen" dans ses collections.
19h36 - L'arrivée de l'armée au pouvoir peut-être améliorer le quotidien à Madagascar, pays secoué par des semaines de manifestations initiées par sa jeunesse ? Nous en parlons avec notre invité, l'historien Solofo Randrianha.
18h58 - Depuis le 25 septembre, Madagascar connaît l’une des plus graves crises politiques de son histoire récente. Récit de ces trois semaines qui ont fait basculer le pays dans le chaos.
18h19 - Peu après la destitution d'Andry Rajoelina, le colonel Michael Randrianirina a déclaré que les militaires avaient pris le pouvoir et dissous toutes les institutions, à l'exception de l'Assemblée nationale, chambre basse du Parlement du pays. Depuis, "il y a une liberté de parole qui est présente, et une ambiance très festive", rapporte notre correspondante Gaëlle Borgia.
18h13 - Le scénario se répète à Madagascar : les militaires ont affirmé mardi 14 octobre "prendre le pouvoir" et ont acté de fait la fin de la présidence du contesté Andry Rajoelina, qui avait accédé une première fois au pouvoir par un coup d'État en 2009 dans des circonstances similaires.
17h57 - "Il est aujourd'hui essentiel que la démocratie, les libertés fondamentales et l'État de droit soient scrupuleusement préservés" à Madagascar, a affirmé mercredi le Quai d'Orsay, après que les autorités militaires ont pris le pouvoir dans l'île par un coup d'État.
17h54 - Après la prise de pouvoir des militaires à Madagascar, au terme de plusieurs semaines de manifestations et du départ du président Rajoelina, que va-t-il advenir du pays ? Nous en parlons avec notre invité Vincent Hugueux, journaliste et enseignant à Sciences Po, ainsi qu’avec Gaëlle Borgia, notre correspondante.
17h47 - La jeunesse qui se mobilise depuis fin septembre, et qui a initié le mouvement de contestation à Madagascar, risque-t-elle aujourd’hui de ne pas récolter les fruits qu’elle a semés ? "C’est tout à fait possible. Par le passé, c’est ce qui s’est souvent produit", analyse notre chroniqueur Karim Yahiaoui.
17h47 - Paris a appelé les nouvelles autorités à "garantir un climat serein et respectueux, où chacun peut s'exprimer librement".
17h44 - Madagascar se préparait mercredi 15 octobre à une nouvelle ère de régime militaire, au lendemain de la prise du pouvoir, à la suite de la destitution du président Andry Rajoelina, par une unité d'élite de l'armée qui a promis des élections d'ici deux ans. Dans la rue, l'annonce des militaires a provoqué des scènes de liesse.
17h10 - Deux jours après le départ du président Andry Rajoelina, le ministère français des Affaires étrangères a réagi, appelant « l'ensemble des acteurs concernés » à faire preuve de « de retenue et de dialogue ».
14h03 - Le scénario se répète à Madagascar: les militaires ont affirmé mardi "prendre le pouvoir" et ont acté de fait la fin de la présidence du contesté Andry Rajoelina, qui avait accédé une première fois au pouvoir par un coup d'Etat en 2009 dans des circonstances similaires. L'unité militaire qui s'est ralliée au mouvement de contestation généralisée dans cette île particulièrement pauvre de l'océan Indien a fait cette déclaration devant le palais présidentiel du centre d'Antananarivo, juste après un vote de l'Assemblée nationale destituant le chef de l'Etat, présumé avoir quitté le pays.
13h22 - Depuis son indépendance en 1960, l’histoire de Madagascar et de ses 30 millions d’habitants est marquée par les crises politiques. Que peut-on attendre de la prise de pouvoir des militaires ralliés aux jeunes contestataires de la Gen Z ? Le mouvement est-il en passe d’être confisqué, comme il l'a déjà été par le passé ? Parlons-en avec Sariaka Senecal, membre de la Gen Z, Laure Verneau, journaliste à Africa Intelligence en charge de Madagascar, Catherine Fournet-Guérin, professeure de géographie à la Sorbonne et membre du laboratoire Médiations et Gaëlle Borgia, correspondante à Antananarivo.
11h44 - Qui sont les hommes du CAPSAT, cette unité de l'armée qui a pris le pouvoir à Madagascar ? "Cette unité militaire est connue, parce que c'est elle qui avait permis à Andry Rajoelina d'accéder au pouvoir", rappelle notre correspondante Gaëlle Borgia.
11h41 - "On va prendre le pouvoir à partir d'aujourd'hui et on dissout le Sénat et la Haute cour constitutionnelle. L'Assemblée nationale, on la laisse continuer à travailler", a indiqué le colonel Michael Randrianirina devant le palais présidentiel, au centre de la capitale malgache. Scènes de fête et concerts ont suivi cette annonce sur la place du 13-mai. Drapeaux malgaches et chants de célébration ont envahi ce lieu symbolique, baptisé en hommage aux personnes tuées lors d'un soulèvement populaire en 1972 qui a conduit au départ du premier président.
10h57 - Les militaires ont affirmé mardi 14 octobre "prendre le pouvoir" à Madagascar. L’unité militaire ralliée au mouvement de contestation généralisée a fait cette déclaration devant le palais présidentiel, au centre d’Antananarivo, peu après un vote de l’Assemblée nationale destituant le chef de l’État, qui a quitté le pays. Contesté dans la rue et retranché dans un lieu inconnu, Andry Rajoelina, qui avait dissous un peu plus tôt l’Assemblée, a dénoncé à propos de ce vote une "réunion dépourvue de toute base légale", puis une "tentative de coup d’État" menée par les militaires. "Le président demeure pleinement en fonction", assure-t-il.
06h25 - Cette enquête, lancée début 2024 à l'initiative des représentants des universités françaises, est dense, précise et dresse un constat sévère, en parlant de "maccarthysme contemporain".
23h27 - Les militaires ont affirmé mardi "prendre le pouvoir" à Madagascar. L'unité militaire qui s'est ralliée au mouvement de contestation a fait cette déclaration juste après un vote de l'Assemblée nationale destituant le chef de l'Etat, qui a quitté le pays. Contesté dans la rue et retranché dans un lieu inconnu, Andry Rajoelina, qui avait dissous un peu plus tôt l'Assemblée, a dénoncé une "réunion dépourvue de toute base légale" puis une "tentative de coup d'Etat" des militaires.
23h27 - Les militaires ont affirmé mardi "prendre le pouvoir" à Madagascar. L'unité militaire qui s'est ralliée au mouvement de contestation a fait cette déclaration juste après un vote de l'Assemblée nationale destituant le chef de l'État, qui a quitté le pays. Contesté dans la rue et retranché dans un lieu inconnu, Andry Rajoelina, qui avait dissous un peu plus tôt l'Assemblée, a dénoncé une "réunion dépourvue de toute base légale" puis une "tentative de coup d'État" des militaires.
22h42 - Des militaires annoncent > apres la destitution du president malgache, qui a pris la fuite apres avoir tente de dissoudre l'Assemblee pour preserver son mandat.
20h28 - Le colonel Michael Randrianirina a annoncé suspendre la Constitution, tandis que l’Assemblée nationale a voté la destitution du chef de l’Etat en exil.
20h28 - Le colonel Michael Randrianirina a annoncé suspendre la Constitution, tandis que l’Assemblée nationale a voté la destitution d’Andry Rajoelina, chef de l’Etat en exil.
19h00 - L’Assemblée nationale a destitué mardi 14 octobre le président Rajoelina, qui refuse toujours de démissionner, se cachant dans un lieu inconnu. Les militaires vont assurer la transition jusqu’à de prochaines élections.
18h33 - Plus tôt dans la journée, le chef d’Etat Andry Rajoelina, qui s’est exfiltré afin de fuir le mouvement de contestation qui déchire son pays, avait publié un décret mardi 14 octobre annonçant la dissolution de l’Assemblée nationale, que les militaires ont décidé de laisser «continuer à travailler».
18h23 - Plus tôt dans la journée, l'unité militaire ralliée au mouvement de contestation avait annoncé "prendre le pouvoir" et suspendre la Constitution.
17h48 - L’unité militaire qui s’est ralliée au mouvement de contestation contre le président Andry Rajoelina à Madagascar a annoncé mardi 14 octobre « prendre le pouvoir » à Antananarivo juste après le vote par l’Assemblée nationale de la destitution du chef de l’État. La Constitution a été suspendue.
16h55 - Le chef de l'Etat était visé, depuis plus de deux semaines, par un mouvement de contestation.
16h30 - Plus tôt dans la journée, le chef d’Etat Andry Rajoelina, qui s’est exfiltré afin de fuir le mouvement de contestation qui déchire son pays, avait publié un décret mardi 14 octobre annonçant la dissolution de l’Assemblée nationale, que les militaires ont décidé de laisser «continuer à travailler».
13h12 - Contesté dans la rue, le président malgache Andry Rajoelina a dissous mardi 13 octobre l’Assemblée nationale avant un vote le visant pour abandon de poste. Dimanche, le chef de l’État aurait quitté l’île à bord d’un avion militaire français, selon les informations de la radio RFI.
12h06 - Alors que l'Assemblée nationale de Madagascar a voté mardi la destitution du président Andry Rajoelina, qui avait diffusé un décret de dissolution de l'Assemblée quelques heures plus tôt, l'unité militaire ralliée à la contestation de la Gen Z a dit "prendre le pouvoir".
06h14 - Alors qu'une partie de l'armee a rejoint la contestation, le president malgache, retranche dans un >, refuse de quitter le pouvoir et appelle au respect de la Constitution.
16h13 - Andry Rajoelina aurait ete exfiltre par un avion militaire francais, laissant Madagascar en plein tumulte, entre revolte populaire, divisions militaires et incertitude politique.
19h13 - Le président Andry Rajoelina a dénoncé dimanche une tentative de coup d’État à Madagascar. Le CAPSAT, unité d’élite de l’armée qui soutient les manifestants mobilisés depuis trois semaines contre la politique économique et sociale du gouvernement, revendique le contrôle des forces armées.