Crédits photo : Ouest France
19h55 - La justice française a lancé mardi des mandats d’arrêt contre le président syrien et plusieurs de ses proches dans le cadre des attaques chimiques de 2013 qui avaient fait plus de 1 000 morts, dont 426 enfants, selon les Etats-Unis.
15h32 - La justice française émet un mandat d'arrêt contre Bachar al-Assad et trois autres dignitaires du régime syrien accusé de complicité de crimes contre l'humanité.
11h50 - En 2013, des attaques au gaz sarin avaient fait plus de 1 000 morts dans la Ghouta orientales. A Paris, l'enquete est ouverte depuis avril 2021.
11h28 - La justice française a émis un mandat d’arrêt international contre le président syrien Bachar al-Assad, accusé de complicité de crimes contre l’humanité pour les attaques chimiques perpétrées durant l’été 2013 en Syrie.
11h14 - Le mandat concerne les attaques chimiques menées dès 2013 dans la Ghouta orientale.
11h13 - La justice française a émis un mandat d'arrêt international contre Bachar al-Assad, ont annoncé, mercredi, des plaignants. Le président syrien est accusé de complicité de crimes contre l'humanité pour les attaques chimiques perpétrées à l'été 2013 en Syrie.
11h13 - Un mandat d’arrêt international a été émis par la France contre le président syrien Bachar al-Assad pour complicité de crimes contre l’humanité, dans le cadre d’attaques chimiques perpétrées en 2013, annoncent des plaignants ce mercredi 15 novembre.
11h11 - Bachar al-Assad est visé par un mandat d'arrêt de la justice française pour complicité de crimes contre l'humanité pour les attaques chimiques perpétrées à l'été 2013 en Syrie, ont annoncé mercredi des plaignants.
11h02 - Quatre mandats d'arrêts ont été émis à l'encontre du dirigeant syrien pour complicité de crimes contre l'humanité. En cause notamment, des attaques au gaz sarin en 2013 qui avaient fait plus de 1 000 morts.
11h01 - La justice française a émis mardi 14 novembre des mandats d’arrêt internationaux à l’encontre de Bachar Al Assad, de son frère Maher Al Assad et de deux généraux syriens. Ils sont accusés de complicité de crimes contre l’humanité pour les attaques chimiques lancées par le régime syrien à l’été 2013.