facebook alerte-info.com
Le 15 septembre 2025 à 06h15

Association Ultime Liberté : le procès de militants pour le suicide assisté reprend après le refus de transmettre une QPC

19h56 - Au deuxième jour du procès de militants du suicide assisté, ce mardi 16 septembre, des accusés ont raconté les derniers moments de vie de leurs proches qu’ils ont aidé à mourir. Des récits forts faits par des personnes qui portent d’importantes revendications.

15h12 - Le tribunal correctionnel de Paris a annoncé, ce mardi 16 septembre, ne pas transmettre à la Cour de cassation la question prioritaire de constitutionnalité déposée par des avocats de la défense. L’audience reprend donc normalement.

19h55 - Au premier jour du procès des militants d’Ultime liberté, lundi 15 septembre, les avocats ont déposé en dernière minute une « question prioritaire de constitutionnalité ». Si elle était jugée recevable, cela suspendrait provisoirement le procès. Réponse mardi 16 septembre en début d’après-midi.

16h12 - Ces adhérents d’Ultime liberté, association réclamant la « légalisation du suicide assisté » comparaissent pour avoir aidé des personnes, malades ou non, à se procurer un puissant barbiturique.

07h58 - Les prévenus sont soupçonnés d'avoir aidé des personnes gravement malades à se procurer un produit mortel.

06h30 - Onze membres de l'association sont juges pour avoir aide a l'importation clandestine de pentobarbital, un barbiturique employe comme euthanasiant.

06h11 - À partir de lundi 15 septembre, 12 militants d’une association prônant le « droit à une mort volontaire douce » comparaissent devant le tribunal correctionnel de Paris pour contrebande et détention illicite de médicament ou complicité. Un procès qui prend un relief particulier dans le contexte du débat sur la fin de vie.

06h00 - Le tribunal correctionnel de Paris juge, à compter de ce lundi 15 septembre et jusqu’au 9 octobre, douze adhérents de l’association réclamant la « légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie volontaire ». Ils comparaissent pour avoir aidé des personnes, malades ou non, à se procurer un barbiturique permettant d’entraîner une mort rapide et sans douleur.

19h35 - Douze membres de l’association Ultime Liberté comparaissent à partir de ce lundi 15 septembre à Paris pour avoir aidé des personnes à se procurer des médicaments afin de mettre fin à leurs jours.

Sources

Hashtags