10h46 - Yannick Morez a démissionné la semaine dernière de son poste de maire de Saint-Brevin-les-Pins, en Loire-Atlantique, après que son domicile ait été incendié. Mercredi 17 mai, il a témoigné devant le Sénat et accusé le préfet du département de l'avoir laissé à son sort, malgré ses alertes.
23h13 - Après son audition au Sénat mercredi matin, Yannick Morez a été reçu par Elisabeth Borne. L'édile a confirmé vouloir « tout arrêter » et a affirmé vouloir « quitter la France ».
23h13 - Après son audition au Sénat mercredi matin, Yannick Morez a été reçu par Elisabeth Borne. L'édile a confirmé vouloir « tout arrêter » et a affirmé vouloir « quitter la France ».
20h31 - Après son entretien avec Élisabeth Borne à Matignon ce mercredi 17 mai, David Lisnard, président de l’Association des maires de France, a salué l’échange, mais appelle à plus de moyens et de réglementations pour la sécurité des maires.
14h04 - L’ancien maire de Saint-Brévin-les-Pins, Yannick Morez, s’est exprimé devant la commission des lois du Sénat, ce mercredi. Il s’est confié sur l’absence de soutien de l’État et accuse la préfecture de Loire-Atlantique de mensonge.
13h49 - Interrogé par la commission des lois au Sénat, le maire de Saint-Brevin a longuement raconté la montée en puissance de groupuscules d’extrême droite opposés au déplacement d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile près d’une école de sa commune. Yannick Morez a décidé de démissionner après l’incendie criminel qui a frappé son domicile, le 22 mars dernier, suscitant indignation dans le pays.
13h32 - L'ancien élu a témoigné devant la commission des lois du Sénat. Il a raconté les "intimidations" dont il a fait l'objet de la part de l'extrême droite à propos du déménagement d'un centre d'accueil pour réfugiés.
11h29 - Yannick Morez, désormais ancien maire de Saint-Brévin-les-Pins après sa démission, va être reçu ce mercredi par Élisabeth Borne. L'occasion d'évoquer avec la Première ministre les menaces et l'incendie dont il a été victime, mais aussi le manque de soutien qu'il reproche au gouvernement. Dans la commune, les habitants s'inquiètent d'une situation qui pourrait se reproduire ailleurs.