21h05 - La suspension par l’Iran de sa coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), entrée en vigueur ce mercredi 2 juillet, est « évidemment inquiétante », a estimé le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric, tandis que les États-Unis ont dénoncé une décision « inacceptable ».
18h57 - Cette décision a été prise par le gouvernement iranien après les frappes israéliennes et américaines sur les sites nucléaires iraniens de Natanz, Fordo et Ispahan. Cependant, l'Iran ne ferme pas la porte aux négociations.
15h00 - Au lendemain du cessez-le-feu avec Israël, le Parlement iranien avait massivement voté un projet de loi suspendant la coopération de l'Iran avec l'Agence internationale de l'énergie atomique. Cette loi vient d'être promulguée. La correspondance de Siavosh Ghazi.
14h57 - Les inspecteurs de l'AIEA présents en Iran ne sont plus autorisés à visiter les sites nucléaires du pays.
14h57 - Cette décision vise à "assurer un plein soutien aux droits de la République islamique d'Iran" et "en particulier à l'enrichissement de l'uranium", en vertu du Traité de non-prolifération, selon les médias iraniens.
11h43 - Alors que leurs rapports devenaient de plus en plus tendus ces derniers jours, l’Iran a suspendu officiellement sa coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), ce mercredi 2 juillet. L’agence, qui encadre l’utilisation des technologies nucléaires, exigeait de visiter les sites iraniens après la guerre de 12 jours avec Israël, afin de vérifier l’état des stocks d’uranium enrichi.
11h27 - L'Iran a officiellement suspendu mercredi sa coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), après avoir multiplié les accusations à son encontre depuis la récente guerre avec Israël.
10h31 - La collaboration avec l’agence onusienne, qui vise à limiter le développement du nucléaire militaire, avait pris récemment un tournant chaotique, son directeur dénonçant les «menaces» dont fait l’objet son organisation.
10h08 - Le président iranien Massoud Pezechkian aurait ordonné mercredi l'arrêt de la coopération avec l'organe de surveillance nucléaire de l'ONU.