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Le 22 décembre 2025 à 06h15

Algérie : le Parlement adopte une loi criminalisant la colonisation française

18h04 - Le Parlement algérien a adopté ce mercredi 24 décembre une loi criminalisant la colonisation française (1830-1962) et réclamant à la France « des excuses officielles » et des « réparations ». Alors qu’une crise diplomatique dure depuis de longs mois entre les deux pays, Paris a réagi et déplore « une initiative manifestement hostile », tout en assurant vouloir continuer de « travailler à la reprise d’un dialogue ».

19h00 - La loi française sur la criminalisation a été débattue à plusieurs reprises en Algérie, sans jamais aboutir à un vote. C'est désormais chose faite. Le Quai d’Orsay a dénoncé "une initiative manifestement hostile à la volonté de reprise du dialogue franco-algérien".

18h48 - Une loi criminalisant la colonisation française (1830-1962) a été adoptée à l’unanimité par le Parlement algérien, mercredi 24 décembre. Ce texte réclame aussi à la France « des excuses officielles », une mesure symbolique qui pourrait exacerber les tensions entre les deux pays déjà en crise.

18h32 - Les députés de l’Assemblée populaire nationale algérienne ont voté en faveur de ce projet de loi qui prévoit notamment des excuses formelles de la France, la restitution des archives et un dispositif de compensation pour les «dommages matériels et moraux».

18h27 - Cette loi liste les "crimes de la colonisation française", jugés imprescriptibles : "essais nucléaires", "exécutions extrajudiciaires", "pratique de la torture physique et psychologique" à large échelle et "pillage systématique des richesses".

18h22 - Un texte adopté à l'unanimité mercredi par le Parlement algérien liste les "crimes de la colonisation française", jugés imprescriptibles, et demande des "excuses officielles" à la France.

18h17 - La chambre basse du parlement algérien a adopté à l’unanimité, mercredi 24 décembre, une loi criminalisant le colonialisme français, demandant à la France des excuses, une reconnaissance et des indemnisations. Paris regrette une mesure peu encline à adoucir sa relation avec Alger.

18h13 - Ce mercredi 24 décembre, le Parlement algérien a voté à l’unanimité la promulgation d’une loi actant la criminalité de la colonisation française, lancée en 1830. Cette nouvelle législation réclame entre autres à la France « des excuses officielles » et des indemnisations pour son passé colonial.

16h01 - Pour le juriste algérien Tahar Khalfoune et l’historien français Benjamin Stora, le texte adopté à l’unanimité par les parlementaires algériens ce mercredi 24 décembre soulève des questions importantes, mais il risque aussi de compliquer le travail mémoriel entre la France et l’Algérie.

15h27 - Les députés de l’Assemblée populaire nationale algérienne ont voté en faveur de ce projet de loi qui prévoit notamment des excuses formelles de la France, la restitution des archives et un dispositif de compensation pour les «dommages matériels et moraux».

15h25 - Une loi criminalisant la colonisation française (1830-1962) a été adoptée à l’unanimité par le Parlement algérien, mercredi 24 décembre. Ce texte réclame aussi à la France « des excuses officielles », une mesure symbolique qui pourrait exacerber les tensions entre les deux pays déjà en crise.

15h13 - La proposition de loi adoptée a été approuvée mercredi, au moment où les relations entre les deux pays connaissent une crise diplomatique majeure.

15h08 - Ce mercredi 24 décembre, le Parlement algérien a voté à l’unanimité la promulgation d’une loi actant la criminalité de la colonisation française, lancée en 1830. Cette nouvelle législation réclame entre autres à la France « des excuses officielles » et des indemnisations pour son passé colonial.

21h51 - Sorte de "béquille" législative, ce texte reconduit temporairement le budget de 2025 et permet à l'Etat de continuer à lever l'impôt. Un moyen d'éviter la paralysie des institutions, en attendant l'adoption du projet de loi de finances.

21h07 - Après leur mobilisation à Bruxelles le jeudi 18 décembre, la signature de l’accord commercial entre l’UE et la zone de libre-échange sud-américaine avait été reportée au mois de janvier.

21h01 - Comme les députés, les sénateurs ont adopté le texte présenté par le gouvernement à l'unanimité. Sébastien Lecornu a redit sa détermination à faire adopter le projet de loi de finances en janvier.

20h59 - A la veille du réveillon de Noël, ce mardi 23 décembre, députés et sénateurs ont validé à l’unanimité ce court texte pour faire tourner l’Etat en attendant le vote d’un «vrai» projet de loi de finances (PLF) à la reprise des débats en janvier.

20h56 - L’Assemblée nationale a adopté une loi spéciale pour permettre à l’État de continuer à fonctionner, en l’absence de budget voté par le Parlement. Le Sénat a voté dans le même sens, dans la soirée de ce mardi 23 décembre. Les débats concernant le budget 2026 reprendront en janvier.

20h54 - Les profondes divergences entre l'Assemblée nationale et le Sénat, tenu par des partis de droite et du centre hostiles à tout prélèvement supplémentaire, ont empêché l'approbation du budget de l'État.

20h30 - Sorte de "béquille" législative, ce texte reconduit temporairement le budget de 2025 et permet à l'Etat de continuer à lever l'impôt. Un moyen d'éviter la paralysie des institutions, en attendant l'adoption du projet de loi de finances.

20h28 - Emmanuel Macron a reçu mardi 23 décembre les syndicats agricoles pour parler de l’accord UE-Mercosur. Hostiles à cet accord depuis des mois, ils demandent au président de prendre clairement position. La dermatose bovine et la grippe aviaire ont aussi été abordées.

20h05 - « Roue de secours », « pansement », « filet de sécurité »…Le gouvernement ne manque pas de métaphores pour qualifier la loi spéciale votée ce mardi 23 décembre à l’Assemblée. Comme elle ne remplace pas le budget 2026 (non encore adopté), les parlementaires vont devoir se remettre au travail très rapidement. Dès le 5 janvier.

19h08 - La rédaction de «Libération» récapitule les principales actualités de la journée du 23 décembre.

17h37 - L’Assemblée nationale adopte à l’unanimité la loi spéciale des finances le mardi 23 décembre. Le texte va être transmis dès ce mardi au Sénat en vue d’une adoption définitive. Cette loi permettra de continuer de financer provisoirement l’État, avant la reprise des débats budgétaires en janvier.

17h37 - Le parlement adopte la loi spéciale des finances à l’unanimité le mardi 23 décembre. Cette loi permettra de continuer de financer provisoirement l’État, avant la reprise des débats budgétaires en janvier.

17h32 - Le président français devait rencontrer les syndicats agricoles à 16 h 30 à l’Élysée sur le sujet de l’accord UE-Mercosur, a annoncé la FNSEA dans un communiqué ce mardi 23 décembre.

17h22 - L’Assemblée nationale a adopté mardi à l’unanimité le projet de loi spéciale visant à permettre de continuer de financer provisoirement l’État, avant la reprise des débats budgétaires en janvier.

17h13 - A la veille du réveillon de Noël, ce mardi 23 décembre, les députés ont validé à l’unanimité ce court texte pour faire tourner l’Etat en attendant le vote d’un «vrai» projet de loi de finances (PLF) à la reprise des débats en janvier.

17h13 - Ce texte doit permettre de remédier provisoirement à l'absence de budget voté. De son côté, le Premier ministre s'adressera "aux Françaises et aux Français" en "fin de journée".

17h10 - De son côté, le Premier ministre s'adressera "aux Françaises et aux Français" en "fin de journée".

17h09 - Les profondes divergences entre l'Assemblée nationale et le Sénat, tenu par des partis de droite et du centre hostiles à tout prélèvement supplémentaire, ont empêché l'approbation du budget de l'État.

17h02 - L’Assemblée nationale vient d’adopter une loi spéciale pour permettre à l’État de continuer à fonctionner, en l’absence de budget voté par le Parlement. Le Sénat devrait faire de même dans la soirée de ce mardi 23 décembre. Les débats concernant le budget 2026 reprendront en janvier.

16h19 - Après leur mobilisation à Bruxelles le jeudi 18 décembre, la signature de l’accord commercial entre l’UE et la zone de libre-échange sud-américaine avait été reportée au mois de janvier.

16h12 - "Le message de la FNSEA au président de la République restera inchangé, ferme et clair : Mercosur = NON", a déclaré le syndicat majoritaire.

15h19 - Après son examen à l'Assemblée nationale, le texte sera transmis au Sénat dans la soirée.

13h39 - Au printemps prochain, près de 8 000 candidats devaient être sélectionnés à Bac+3 pour renforcer les effectifs à la rentrée prochaine. Le ministre de l'Éducation a lui-même averti que, sans budget, il ne savait pas comment organiser le concours.

12h27 - Après son examen par les députés, le texte sera transmis au Sénat dans la soirée.

12h16 - Députés et sénateurs n’ayant pas réussi à se mettre d’accord sur le vote d’un budget avant la fin de l’année, le Parlement discute mardi 23 décembre d’une nouvelle loi spéciale permettant d’assurer la continuité de l’État. Le gouvernement espère que le vote d’un véritable budget pourrait intervenir début janvier.

09h02 - Le ministre de l’Économie et des Finances était ce mardi 23 décembre sur le plateau de « BFMTV » pour défendre l’adoption d’ici ce soir de la loi spéciale par le Parlement, destinée à « gagner quelques jours, quelques semaines » sur l’adoption du budget 2026.

08h23 - La rédaction de «Libération» compile les principales infos du jour

07h42 - "Nous devrons au plus vite, en janvier, donner un budget à la nation" qui "devra tenir l'objectif de 5% de déficit et financer nos priorités", a déclaré Emmanuel Macron lundi soir lors du Conseil des ministres, selon la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon.

07h25 - Les profondes divergences entre l'Assemblée nationale et le Sénat, tenu par des partis de droite et du centre hostiles à tout prélèvement supplémentaire, ont empêché l'approbation du budget de l'État.

07h04 - "Nous devrons au plus vite, en janvier, donner un budget à la nation" qui "devra tenir l'objectif de 5% de déficit et financer nos priorités", a déclaré Emmanuel Macron lundi soir lors du Conseil des ministres, selon la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon.

06h50 - La loi spéciale des finances a été présentée en conseil des ministres le lundi 22 décembre dans la soirée. Cette loi permet à la France d’éviter un « shutdown » à l’américaine. L’État pourra ainsi continuer de fonctionner jusqu’à la reprise des discussions budgétaires début 2026.

22h42 - Le texte, examiné dès mardi au Parlement, doit assurer la continuité de l’État avant la reprise des négociations budgétaires début janvier, alors que plane la question d’un éventuel recours au 49.3.

21h04 - Au fil de la journée, Sébastien Lecornu a reçu les socialistes, les communistes, les écologistes, les représentants du "bloc central" et ceux de LR, avant la présentation d'une loi spéciale en Conseil des ministres dans la soirée.

21h01 - Après l’échec des discussions sur le budget de l’Etat pour 2026, le recours à une loi spéciale est acté et doit être voté par les parlementaires mardi. Ce dispositif d’urgence et provisoire reconduit les crédits des ministères et permet de lever les impôts existants. Mais plusieurs dispositifs comme le crédit d’impôt pour les agriculteurs bio disparaissent.

20h59 - La loi spéciale des finances a été adoptée en conseil des ministres le lundi 22 décembre. Cette loi permet à la France d’éviter un « shutdown » à l’américaine. L’État pourra ainsi continuer de fonctionner jusqu’à la reprise des discussions budgétaires.

20h56 - Au fil de la journée, Sébastien Lecornu a reçu les socialistes, les communistes, les écologistes, les représentants du "bloc central" et ceux de LR, avant la présentation d'une loi spéciale en Conseil des ministres dans la soirée.

20h56 - « Nous devrons au plus vite, en janvier, donner un budget à la nation », a déclaré Emmanuel Macron, lundi lors du Conseil des ministres, qui a adopté le projet de loi spéciale budgétaire.

20h55 - À l’issue du conseil des ministres, ce lundi 22 décembre 2025, le gouvernement a indiqué qu’une loi spéciale a été présentée pour « gagner du temps », dans le cadre de l’adoption du budget 2026.

20h23 - Le Premier ministre a bouclé une énième consultation des groupes politiques avant la présentation d’une loi spéciale. Sébastien Lecornu reste silencieux sur sa méthode pour faire adopter un budget pour 2026 lorsque les discussions reprendront après les fêtes.

19h13 - Au fil de la journée, Sébastien Lecornu a reçu les socialistes, les communistes, les écologistes, les représentants du "bloc central" et ceux de LR.

18h39 - Dans journée, le Premier ministre a reçu les socialistes, les communistes et les représentants du bloc central à Matignon. Sébastien Lecornu doit encore s'entretenir avec ceux des Ecologistes et des Républicains.

17h57 - En l’absence d’accord sur le budget avant 2026, le gouvernement se réunit lundi 22 décembre dans la soirée pour proposer une loi de finances spéciale. Celle-ci devra permettre à la France d’éviter un « shutdown » à l’américaine. L’État pourra ainsi continuer de fonctionner jusqu’à la reprise des discussions budgétaires.

17h39 - Faute de budget 2026 pour l’instant, le gouvernement se trouve dans l’obligation de faire adopter une loi spéciale. Comme l’an dernier, à pareille époque, après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Va-t-on donc devoir se serrer la ceinture pendant quelques semaines ? Pas forcément…

13h40 - Le chef du gouvernement s'entretient ensuite avec des responsables du bloc central, des Républicains, du Parti communiste et des Ecologistes.

11h37 - Après l’échec des parlementaires pour se mettre d’accord sur un budget 2026, l’option de la loi spéciale semble être celle que va privilégier le gouvernement de Sébastien Lecornu. Ce dispositif permet de prolonger le budget de l’année précédente, afin de ne pas mettre le pays à l’arrêt.

11h07 - Le rapporteur général du budget à l’Assemblée nationale appelle ce lundi Sébastien Lecornu à avoir recours à l’article en janvier, sur la base d’une version amendée du texte du Sénat.

11h06 - Après cet échange avec des représentants socialistes lundi matin, le chef du gouvernement s'entretiendra avec des responsables du bloc central, des Républicains, du Parti communiste et des Ecologistes.

09h49 - Le Premier ministre Sébastien Lecornu prévoit de consulter une dernière fois les formations politiques ce lundi 22 décembre 2025, avant un conseil des ministres et une loi spéciale prévus dans la soirée.

08h43 - Le député insoumis et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale Éric Coquerel estime que « la situation ne va pas devenir catastrophique parce qu’il y a une loi spéciale » et déplore l’attitude du gouvernement qui crée un « affolement ».

07h50 - Le chef du gouvernement recevra les responsables du Parti socialiste à 10h30, puis Les Républicains, le Parti communiste et les Ecologistes à 15 heures et 16 heures.

07h45 - A l'issue de ces discussions avec les formations politiques, un conseil des ministres destiné à présenter le projet de loi spéciale est prévu ce lundi en fin de journée.

07h11 - Le chef du gouvernement recevra les responsables du Parti socialiste à 10h30, puis Les Républicains, le Parti communiste et les Ecologistes à 15 heures et 16 heures.

06h24 - Après l’échec des députés et sénateurs à se mettre d’accord sur le budget de l’État, un projet de loi spéciale doit être présenté lundi 22 décembre en conseil des ministres, avant d’être examiné dans la foulée au Parlement. De son côté, le premier ministre consulte les responsables politiques pour trouver une solution.

06h02 - L'absence d'accord entre députés et sénateurs sur le budget, vendredi, contraint à présenter ce texte minimaliste pour éviter une paralysie de l'Etat au 1er janvier. Il sera examiné dès lundi en Conseil des ministres.

05h56 - Le Premier ministre Sébastien Lecornu poursuit lundi 22 décembre ses consultations des formations politiques, avant un conseil des ministres en fin de journée pour présenter en urgence une loi spéciale destinée à sortir de l’impasse budgétaire, après l’échec de l’examen parlementaire du budget de l’État.

19h37 - Le Premier ministre, qui consulte la plupart des forces politiques ce dimanche 21 et lundi 22 décembre, peut encore opter pour des ordonnances ou le 49.3 afin de faire entrer en vigueur le projet de loi de finances.

Sources

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