Crédits photo : Ouest France
10h38 - Les avocats de Nantes révoltée ont réagi, ce mercredi 26 janvier, après que le ministre de l’Intérieur a annoncé le déclenchement de la procédure de dissolution.
11h11 - Après la manifestation de vendredi 21 janvier, à Nantes, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé, mardi 25 janvier 2022, le déclenchement de la procédure de dissolution de ce groupe d’extrême gauche.
22h22 - Gerald Darmanin a annonce mardi avoir lance la procedure de dissolution du groupe d'extreme gauche "Nantes revoltee", qui se presente comme "un media...
22h20 - Paris - Gérald Darmanin a annoncé mardi avoir lancé la procédure de dissolution du groupe d'extrême gauche "Nantes révoltée", qui se présente comme "un média autonome et engagé" mais est régulièrement pointé du doigt par les autorités pour des violences lors de manifestations.
19h06 - Il accuse Nantes révoltée de diffuser des "appels à la violence" et d'être impliqué dans une manifestation lors de laquelle des jets de projectile ont visé les forces de l'ordre vendredi.
19h06 - Il accuse Nantes révoltée de diffuser des "appels à la violence" et d'être impliqué dans une manifestation lors de laquelle des jets de projectile ont visé les forces de l'ordre vendredi.
18h47 - Le groupe d'extreme gauche est mis en cause pour avoir appele vendredi a une manifestation non declaree a Nantes >.
18h40 - Il accuse Nantes révoltée de diffuser des "appels à la violence" et d'être impliqué dans une manifestation lors de laquelle des jets de projectile ont visé les forces de l'ordre vendredi.
18h40 - Il accuse Nantes révoltée de diffuser des "appels à la violence" et d'être impliqué dans une manifestation lors de laquelle des jets de projectile ont visé les forces de l'ordre vendredi.
17h55 - Gerald Darmanin a annonce mardi avoir lance la procedure de dissolution du groupe d'extreme gauche "Nantes revoltee", mis en cause pour avoir appele...
17h54 - Paris - Gérald Darmanin a annoncé mardi avoir lancé la procédure de dissolution du groupe d'extrême gauche "Nantes révoltée", mis en cause pour avoir appelé vendredi à une manifestation non déclarée dans la ville "contre l'Etat, contre les policiers".