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23h12 - L’élection de Donald Trump au début du mois lui permet d’échapper à nouveau à la justice, cette fois dans le dossier concernant la rétention dans sa demeure de Mar-a-Lago en Floride, de documents classifiés provenant de la Maison blanche.
15h41 - La cour d'appel de Paris a écarté mardi la prescription soulevée par le secrétaire général de l'Élysée, Alexis Kohler, et a confirmé les poursuites le visant. Le bras droit d'Emmanuel Macron est mis en examen depuis 2022 pour prise illégale d'intérêts dans l'enquête sur ses liens familiaux avec l'armateur MSC.
15h30 - La cour d'appel de Paris a écarté mardi la prescription soulevée par le secrétaire général de l'Elysée, a appris franceinfo de source judiciaire.
14h52 - Le secrétaire général de l’Elysée sera bien poursuivi, a acté la justice ce mardi 26 novembre, écartant une possible prescription.
14h40 - La cour d’appel de Paris a rejeté, ce mardi 26 novembre, l’argument de prescription avancé par Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, et a confirmé les poursuites engagées contre lui pour prise illégale d’intérêts dans le cadre de l’enquête sur ses liens familiaux avec l’armateur MSC.
14h32 - Le secrétaire général de l’Elysée sera bien poursuivi, a acté la justice ce mardi 26 novembre, écartant une possible prescription.
14h14 - La cour d’appel de Paris était appelée, ce mardi 26 novembre, à se prononcer sur l’éventuelle prescription des faits de prise illégale d’intérêt reprochés à Alexis Kohler dans l’affaire MSC, du nom d’un célèbre armateur. Dans une décision rendue en début d’après-midi, elle a confirmé les poursuites envers le secrétaire général de l’Élysée, les faits qui lui sont reprochés n’étant pas prescrits.
14h14 - La question de la prescription était étudiée ce mardi par la cour d'appel de Paris. Le secrétaire général de l'Elysée devra bien répondre devant la justice des soupçons de prise illégale d'intérêts dans l’enquête sur ses liens familiaux avec l’armateur MSC.
08h50 - Le Secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler passait devant la commission d'enquête du Sénat jeudi 26 juillet dans le cadre de l'affaire Benalla. Il a notamment déclaré qu'il n'y avait pas "de police parallèle à l'Élysée". Au sujet d'Alexandre Benalla, il a reconnu que la sanction pouvait "apparaître insuffisante" avant de préciser que ce dernier était "très apprécié de ses collègues".