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20h13 - Le gouvernement de Michel Barnier connait à priori ses derniers jours. Le Premier ministre a dégainé l’article 49.3 sur le projet de loi de finances de la sécurité sociale pour éviter un vote. Marine Le Pen a confirmé que le groupe RN déposera sa propre motion de censure et votera celle de la gauche. La gauche, elle, ayant affirmé au préalable qu'elle voterait une motion de censure. Moins de 90 jours après son installation à Matignon, le gouvernement Barnier devrait chuter.
20h07 - Après 185 députés du Nouveau Front Populaire, 140 députés du Rassemblement national ont déposé à leur tour une motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier ce lundi 2 décembre. Le premier ministre a eu recours au 49.3 pour faire adopter sans vote le budget 2025 de la Sécurité sociale.
12h42 - A la veille du retour à l'Assemblée nationale du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, le Rassemblement national met à nouveau la pression sur le Premier ministre, qui joue son avenir politique.
23h55 - A l'aube d'une semaine cruciale, marquee par un probable recours au 49.3, le ministre en charge du Budget appelle les forces politiques a la responsabilite face a la menace d'une motion de censure.
16h42 - Dans votre magazine cette semaine:Le fragile gouvernement Barnier. Le Premier ministre menacé de censure s’il passe en force pour faire adopter le nouveau projet de loi de financement de la sécurité sociale.A découvrir aussi les toutes premières images de Notre-Dame, rénovée et sublimée. La Cathédrale sera rendue au culte et au public le weekend prochain. Et puis les réquisitions dans le procès des viols de Mazan. Lucas Sarafian, journaliste à Politis est notre invité.
14h23 - Le député d’extrême droite Jean-Philippe Tanguy a estimé ce samedi 30 novembre que «le gouvernement ne semble pas vouloir bouger», notamment sur la question de la revalorisation des retraites, l’une des «lignes rouges» du RN.
12h24 - Alors que le gouvernement est menacé d'une censure, le ministre de l'Économie Antoine Armand a appelé "chacun à ses responsabilités" samedi. "L'absence de budget, l'instabilité politique entraînerait une augmentation soudaine et substantielle des coûts de financement de la dette française".