08h17 - L’opératrice du Samu qui avait raillé fin 2017 au téléphone Naomi Musenga, une jeune femme morte peu après à l’hôpital, comparaît jeudi 4 juillet à Strasbourg dans son procès pour « non-assistance à personne en danger ». La prévenue encourt cinq ans de prison et 75 000 € d’amende.
07h40 - Fin 2017, Naomi Musenga, 22 ans, appelle le Samu pour de graves douleurs au ventre. L'opératrice se moque d'elle. Naomi, finalement prise en charge par SOS Médecins, meurt peu après à l'hôpital.
07h30 - L’opératrice du Samu de Strasbourg qui avait moqué au téléphone Naomi Musenga, jeune femme de 22 ans morte quelques heures après l’hôpital, est jugée ce jeudi 4 juillet à Strasbourg, plus de six ans après les faits. La mise en cause, âgée de 60 ans, devra répondre de non-assistance à personne en danger, pour « ne pas avoir respecté les protocoles » de prise en charge « et les bonnes pratiques » du Samu, selon le parquet.
07h11 - L'affaire avait fait la Une de la presse. L'opératrice du Samu qui avait raillé fin 2017 au téléphone Naomi Musenga, une jeune femme morte peu après à l'hôpital, comparaît jeudi à Strasbourg. Jugée en correctionnelle pour "non-assistance à personne en danger", il lui est reproché de ne "pas avoir respecté les protocoles" de prise en charge, et encourt jusqu'à cinq ans de prison.
06h36 - "Je veux seulement savoir ce qu'il s'est passé. Qu'est-ce que ma fille lui a fait ?", s'interroge Bablyne Musenga. L'opératrice du Samu mise en cause dans ce dossier est jugée en correctionnelle à Strasbourg à partir de jeudi pour "non-assistance à personne en danger".