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Le 05 mars 2020 à 10h30

Les avocats de François Fillon rappellent que 34 attestations ont été versées au cours de l'instruction pour appuyer la défense. Bruno Nataf, magistrat du parquet, demande pourquoi ne pas faire témoigner aujourd'hui les auteurs de ces attestations.

09h21 - François Fillon explique qu'il ne voulait pas mettre mal à l'aise ces personnes, que certaines souhaitaient rester anonymes. Il dénonce également une instruction menée uniquement à charge qui "restera dans les annales judiciaires"

09h20 - Les avocats de François Fillon rappellent que 34 attestations ont été versées au cours de l'instruction pour appuyer la défense. Bruno Nataf, magistrat du parquet, demande pourquoi ne pas faire témoigner aujourd'hui les auteurs de ces attestations.

09h00 - La présidente demande à François Fillon comment il a vécu cette enquête et les perquisitions: "Je suis assez mal placé parce que c’est Penelope qui a supporté le choc, j’étais en campagne pour l’élection présidentielle, je n'étais pas là"

08h47 - Son avocat demande à François Fillon: "Ce qu’ont déclaré ces personnes ne démontre pas la diversité du travail de collaborateur ?"

08h38 - La présidente intervient pour demander si la situation inverse existe aussi: "Est-ce que des députées femmes ont comme pris comme collaborateur leur conjoint?" - "Oui, bien sûr" répond François Fillon.

07h56 - "Il y a plusieurs visions de Paris : une qui consiste à dire (la mienne), 'il faut assumer qu'il y a une urgence' et de l'autre côté, il y a un projet de possible retour en arrière. J'ai entendu que l'écologie était une punition", explique Anne Hidalgo https://bit.ly/3cxaCAZ  pic.twitter.com/eg9HgnOsMy

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