Crédits photo : La Croix
16h03 - Le 6 août 2022, le pape François a reçu en audience, salle Clémentine au Vatican, jeunes, couples mariés et aumôniers participant à la rencontre internationale du mouvement des Équipes Notre-Dame Jeunes. « Chaque jeune est une espérance pour Jésus, une espérance d’amitié, une espérance de chemin ensemble, une espérance de mission ensemble », a-t-il notamment déclaré dans son discours avant de commenter les trois mots qui composent le nom des équipes reçues : « équipe », « Notre-Dame » et « jeunes ». « N’ayez pas peur de vous ouvrir, de prendre des risques, a conseillé le pape François, et n’ayez pas peur des autres ». Et cela malgré l’existence de harcèlement, d’abus, de mensonges ou de trahisons… « Croyez-moi, a-t-il affirmé, le problème n’est pas de me défendre des autres, ma préoccupation devra être celle de défendre les victimes. »
14h41 - Lors de l’audience générale du 7 septembre 2022, place Saint-Pierre de Rome, le pape François a poursuivi sa catéchèse sur le discernement entamée la semaine précédente. Une réflexion inspirée par un épisode « décisif » de la vie d’Ignace de Loyola « en convalescence chez lui après avoir été blessé au combat à une jambe ». De ses lectures, afin de chasser l’ennui, a ainsi expliqué le pape François, le futur saint « commence à découvrir un autre monde, un monde qui le conquiert et qui semble rivaliser avec celui des chevaliers » : celui des saints, accompagné du désir de les imiter. Cependant, a-t-il précisé, « le monde chevaleresque continue d’exercer sa fascination sur Ignace » qui ressent en lui « une alternance de pensées, celles des chevaliers et celles des saints… »
14h41 - Lors de l’audience générale du 7 septembre 2022, place Saint-Pierre de Rome, le pape François a poursuivi sa catéchèse sur le discernement entamée la semaine précédente. Une réflexion inspirée par un épisode « décisif » de la vie d’Ignace de Loyola « en convalescence chez lui après avoir été blessé au combat à une jambe ». De ses lectures, afin de chasser l’ennui, a ainsi expliqué le pape François, le futur saint « commence à découvrir un autre monde, un monde qui le conquiert et qui semble rivaliser avec celui des chevaliers » : celui des saints, accompagné du désir de les imiter. Cependant, a-t-il précisé, « le monde chevaleresque continue d’exercer sa fascination sur Ignace » qui ressent en lui « une alternance de pensées, celles des chevaliers et celles des saints… »
14h22 - Le 4 septembre 2022, place Saint-Pierre de Rome, le pape François a présidé la messe au cours de laquelle le pape Jean-Paul Ier (Albino Luciani) a été proclamé bienheureux (sa fête sera célébrée chaque année le 26 août, jour de son élection au trône pontifical en 1978). Une célébration en présence du président de la République italienne, Sergio Mattarella. Dans son homélie, commentant en premier lieu l’Évangile du 23e dimanche du temps ordinaire (« de grandes foules faisaient route avec Jésus ») le pape François s’est arrêté sur le « style de Dieu » contraire à celui du « leader rusé » manœuvrant « avec dextérité » les peurs de la société. Un style, a-t-il expliqué, qui « n’instrumentalise pas nos besoins », qui « n’utilise jamais nos faiblesses pour grandir ». À l’opposé de « l’idolâtrie » du succès personnel, « il semble s’inquiéter quand les gens le suivent avec euphorie et s’enthousiasment trop facilement ». Pour le pape François, suivre Jésus ne signifie donc pas « entrer dans une cour ou participer à un cortège triomphal, ni même recevoir une assurance-vie »… mais bien « porter la croix » (« faire de sa vie un don (…) la dépenser en imitant l’amour généreux et miséricordieux qu’il a pour nous »). Un choix qui engage totalement l’existence.