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Le 09 décembre 2024 à 20h15

Procès des effondrements de la rue d’Aubagne : prison ferme requise contre un élu, un expert et des copropriétaires

Procès des effondrements de la rue d’Aubagne : prison ferme requise contre un élu, un expert et des copropriétaires

Crédits photo : Ouest France



16h09 - Début novembre dernier, le match de football entre l’Ajax Amsterdam - Maccabi Tel-Aviv en Ligue Europa avait été marqué par de nombreux supporters israéliens présents dans la capitale des Pays-Bas. Ce jeudi 12 décembre, un homme a été condamné à huit mois de prison pour des faits de violences.

15h39 - Le procureur a estimé que Julien Ruas, à l'époque chargé de la police des immeubles en péril, est un "auteur indirect" du drame.

15h23 - Le procureur a estimé que Julien Ruas, à l'époque chargé de la police des immeubles en péril, est un "auteur indirect" du drame.

14h54 - Des peines de prison ferme ont été requises, ce jeudi 12 décembre, à l’encontre d’un ex-adjoint de la mairie de Marseille (Bouches-du-Rhône), d’un architecte-expert et de copropriétaires après les effondrements mortels d’immeubles dans la rue d’Aubagne, en 2018. Le procès doit se terminer le 18 décembre.

14h45 - Six ans après l’effondrement qui a fait six morts, le parquet a requis ce jeudi 12 décembre des peines assez sévères contre les accusés, particulièrement l’ancien adjoint au maire et les propriétaires des appartements.

13h52 - Le procureur a estimé que Julien Ruas, à l'époque chargé de la police des immeubles en péril, est un "auteur indirect" du drame.

13h23 - Le 5 novembre 2018, deux bâtiments de la rue d'Aubagne s'effrondraient à Marseille, provoquant la mort de huit habitants

13h23 - Le 5 novembre 2018, deux bâtiments de la rue d'Aubagne s'effrondraient à Marseille, provoquant la mort de huit habitants

13h23 - Le 5 novembre 2018, deux bâtiments de la rue d'Aubagne s'effrondraient à Marseille, provoquant la mort de huit habitants. Des peines de prison ferme ont été requises ce jeudi à l'encontre d'un ex-adjoint de la mairie, d'un architecte-expert et de copropriétaires.

08h23 - Mardi durant l'audience, l'actrice a quitté la salle après avoir crié "ferme ta gueule" à Christophe Ruggia jugé pour agressions sexuelles, alors qu'Adèle Haenel avait entre 12 et 14 ans. Cinq ans de prison requis, dont trois avec sursis, ont été requis à l'encontre du réalisateur.

21h05 - Cinq ans de prison, dont deux ferme, ont été requis mardi 10 décembre contre le réalisateur Christophe Ruggia pour agressions sexuelles sur l’actrice Adèle Haenel quand elle avait entre 12 et 14 ans. La défense a plaidé la relaxe. Le tribunal prendra sa décision le 3 février.

20h17 - Contre le réalisateur Christophe Ruggia, jugé pour des agressions sexuelles sur l’ancienne actrice Adèle Haenel, la procureure a ce mardi 10 décembre 2024 requis cinq ans de prison, mais sans qu’il soit emprisonné. Décision le 3 février.

18h14 - Les attaques et les provocations du réalisateur Christophe Ruggia étaient insoutenables. « Mais ferme ta gueule », a hurlé Adèle Haenel ce mardi en plein procès contre celui qu'elle accuse d'agressions sexuelles lorsqu'elle était mineure.

18h01 - La décision du tribunal sera mise en délibéré à l'issue du procès, mardi soir.

16h44 - La décision du tribunal sera mise en délibéré à l'issue du procès, mardi soir.

16h30 - La procureure a demandé ce mardi 10 décembre que la partie ferme de cette peine pour le réalisateur de 59 ans, jugé depuis lundi pour «agressions sexuelles sur mineure», soit directement aménagée sous bracelet électronique.

16h13 - Jugé à Paris, le réalisateur Christophe Ruggia risque cinq ans de prison, dont deux ans ferme sous bracelet électronique, pour des agressions sexuelles sur l'actrice Adèle Haenel alors qu’elle était mineure. La procureure a martelé la gravité des faits, tandis que la défense a plaidé la relaxe, accusant l’actrice de vouloir incarner un symbole de MeToo. La décision sera rendue le 3 février.

16h05 - L'actrice, qui bouillonne depuis le début du procès lundi, s'est soudainement levée alors que le cinéaste, accusé d'agressions sexuelles, soutenait avoir tenté de la protéger lors de ses débuts dans le cinéma.

14h49 - Au deuxième et dernier jour du procès du réalisateur pour agressions sexuelles sur mineure, la comédienne lui a demandé de se taire puis est sortie de la salle d’audience. Elle a ensuite repris place sur le banc des parties civiles.

14h37 - Les attaques et les provocations du réalisateur Christophe Ruggia étaient insoutenables. « Mais ferme ta gueule », a hurlé Adèle Haenel ce mardi en plein procès contre celui qu'elle accuse d'agressions sexuelles lorsqu'elle été mineure.

14h37 - Les attaques et les provocations du réalisateur Christophe Ruggia étaient insoutenables. « Mais ferme ta gueule », a hurlé Adèle Haenel ce mardi en plein procès contre celui qu'elle accuse d'agressions sexuelles lorsqu'elle était mineure.

14h27 - L'actrice, qui bouillonne depuis le début du procès lundi, s'est soudainement levée alors que le cinéaste accusé d'agressions sexuelles soutenait avoir tenté de la protéger lors de ses débuts dans le cinéma.

14h17 - Face au cinéaste qu’elle accuse de l’avoir agressée sexuellement entre ses 12 et 14 ans, et qui soutenait à la barre avoir tenté de la protéger, l’actrice a hurlé ces mots avant de quitter la salle d’audience ce mardi 10 décembre.

08h11 - L'actrice Adele Haenel a fait face, lundi, au realisateur Christophe Ruggia, qu'elle accuse d'agressions sexuelles alors qu'elle avait entre 12 et 15 ans.

21h34 - Agé de 59 ans, le cinéaste est jugé lundi et mardi par le tribunal correctionnel de Paris. Il a soutenu lors de son interrogatoire n'avoir jamais agressé sexuellement la jeune actrice, alors âgée de 12 à 14 ans.

20h05 - Christophe Ruggia a évité lundi, au premier jour de son procès, le regard noir d'Adèle Haenel. Mais, à la barre, le réalisateur s'est montré sûr de lui, traitant de « pur mensonge » les accusations d'agressions sexuelles de l'actrice quand elle était mineure.

20h04 - Le réalisateur Christophe Ruggia est jugé pour agressions sexuelles sur mineure à l’encontre d’Adèle Haenel. Lors du premier jour d’audience, lundi 9 décembre, l’actrice a semblé revivre les faits.

19h01 - Jugés depuis trois mois à la cour criminelle départementale du Vaucluse, Dominique Pelicot et 50 hommes sont accusés d’avoir violé son ex-épouse sous soumission chimique. Parmi eux, Cédric G., 50 ans, reconnaît l’intégralité des faits qui lui sont reprochés.

17h09 - Sur le parvis du tribunal de Paris, des militantes féministes se sont rassemblées ce lundi 9 décembre pour témoigner de leur soutien à l’actrice, quelques heures avant le procès du réalisateur Christophe Ruggia, poursuivi pour agressions sexuelles sur mineure.

Sources

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