Crédits photo : France info
20h06 - Moscou a de nouveau accusé Kiev de vouloir utiliser une "bombe sale" contre la Russie. Il s'agit d'une bombe radiologique constituée d'explosifs conventionnels entourés de matériaux radioactifs destinés à être disséminés en poussière au moment de l'explosion.
20h06 - Moscou a de nouveau accusé Kiev de vouloir utiliser une "bombe sale" contre la Russie. Il s'agit d'une bombe radiologique constituée d'explosifs conventionnels entourés de matériaux radioactifs destinés à être disséminés en poussière au moment de l'explosion.
19h21 - Dans cette commune du Sud de l'Ukraine, située non loin du front de Kherson, la menace d'une attaque nucléaire russe est prise très au sérieux.
19h21 - Dans cette commune du Sud de l'Ukraine, située non loin du front de Kherson, la menace d'une attaque nucléaire russe est prise très au sérieux.
18h02 - Les autorités et les médias russes multiplient les allégations selon lesquelles Kiev s’apprêterait à faire usage d’une arme radioactive en Ukraine. Une manière grossière de justifier une escalade, selon Ukrainiens et Occidentaux.
16h13 - La Russie a affirmé ce lundi que l'Ukraine était entrée "dans la phase finale" de la fabrication de sa "bombe sale", c'est-à-dire un engin détonant disséminant un ou plusieurs produits chimiquement ou biologiquement toxiques.
15h50 - Le journaliste et propagandiste russe, Anton Krassovski, a été suspendu d’antenne, lundi 24 octobre, après avoir tenu des propos révoltants sur la chaîne YouTube de Russia Today (RT), un média financé par l’État Russe.
10h59 - Les commentaires d'Anton Krassovski ont été jugés "dégoûtants" par Margarita Simonian, rédactrice en chef du média financé par l'Etat russe.
10h59 - Les commentaires d'Anton Krassovski ont été jugés "dégoûtants" par Margarita Simonian, rédactrice en chef du média financé par l'Etat russe.
06h31 - Au 243e jour de l'invasion russe en Ukraine, Moscou a accusé dimanche, lors d'entretiens téléphoniques avec des pays de l'Otan, l'Ukraine de se préparer à utiliser une "bombe sale", des allégations rejetées par Kiev et Washington qui disent craindre un prétexte pour une escalade.